Luigi Ghirri

Luigi Ghirri, Paris, 1972
Image courtesy Archive Luigi Ghirri, Matthew Marks Gallery, Mai 36, Galleria Massimo Minini

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Luigi Ghirri

Luigi Ghirri, Modena (Serie Catalogo), 1971

Les volets fermés d’un commerce dans une rue déserte…

Le photographe italien Luigi Ghirri (1943-1992) braque son objectif sur des scènes et des paysages ordinaires. Derrière l’apparente simplicité de ses tirages aux couleurs feutrées, se cache une réflexion sur la nature de la photographie et sur la façon dont les images façonnent notre perception du réel. Qu’il cartographie son Émilie-Romagne natale ou qu’il documente l’Europe de ses voyages, le récit décousu qu’il nous livre est fragmentaire. Son but n’est pas tant de révéler mais plutôt de suggérer: ses clichés très construits captent des moments suspendus et subliment la banalité du pas grand-chose et de l’anodin. La photographie est pour lui une “grande aventure dans le monde de la pensée et du regard”.


Copyright © 2021, Zoé Schreiber

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Luigi Ghirri

Luigi Ghirri, Marina di Ravenna, 1972

Luigi Ghirri, Marina di Ravenna, 1972


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Luigi Ghirri

Luigi Ghirri, Tellaro, 1980

Luigi Ghirri, Tellaro, 1980

“Homme libre, toujours tu chériras la mer!” La citation de Baudelaire résonne dans notre tête à la vue de cette photographie de Luigi Ghirri. Le spectacle de l’infini de la mer et de son horizon évoque vacances, repos et évasion... Pourrons-nous, si l’envie nous prenait cet été, retrouver le littoral et aller nous prélasser sur la plages?

Le photographe italien Luigi Ghirri (1943-1992) braque son objectif sur des paysages ordinaires. Derrière l’apparente simplicité de ses tirages aux couleurs feutrées, se cache une réflexion sur la nature de la photographie et sur la façon dont les images façonnent notre perception du réel. Qu’il cartographie son Émilie-Romagne natale ou qu’il documente l’Europe de ses voyages, le récit décousu qu’il nous livre est fragmentaire. Son but n’est pas tant de révéler mais plutôt de suggérer: ses clichés très construits captent des moments suspendus et subliment la banalité du pas grand-chose et de l’anodin. La photographie est pour lui une “grande aventure dans le monde de la pensée et du regard”.

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