« Le printemps, c'est tout un poème. On en parle, on le pratique, on l'attend... » — Alphonse Boudard
Spencer Finch (1962-) décline, dans ses installations lumineuses, ses aquarelles, ses dessins, ses photographies et ses vidéos, ses observations sur la perception, la lumière, la couleur et la mémoire. L’acte même de regarder fascine l’artiste américain qui s’évertue à susciter l’émerveillement à travers des effets d’optique, des jeux de textures et de matières translucides, réfléchissantes, transparentes ou teintées. Il donne raison à l’adage de Maurice Merleau-Ponty selon lequel « on ne voit que ce qu’on regarde. »
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