Evan Holloway

September 12, 2022 Zoé Schreiber

sign-up for the newsletter / s'abonner à la newsletter

Evan Holloway, Fortune, aluminium, paint, light bulbs and fixtures, wiring, lighting controller, 25,4 x 27,9 x 15,2cm, 2017. Image courtesy the artist and Xavier Hufkens

« Mieux vaut prendre le changement par la main avant qu’il ne nous prenne par la gorge. » — Winston Churchill

Evan Holloway, Native and Non-Native, steel, cardboard, aqua-resin, Celluclay, paint, 193 x 127 x 152,4cm, 2017

Evan Holloway, Wonder Tree, bronze and oil enamel, 221 x 175,3cm, 2020

Evan Holloway, Small Crowd, aluminium, paint, light bulbs and fixtures, wiring, lighting controller, 239 x 34 x 37cm, 2017

Evan Holloway, Untitled (large square with circle inside), plaster, steel, spent batteries, bitumen, 38,9 x 39,4 x 7,6cm, 2014

Figure incontournable de la scène artistique californienne, Evan Holloway (1967-) crée des sculptures polymorphes. Il assemble et agence des objets usuels et du quotidien (ampoules, piles électriques usagées, lampes, plantes en pot…). Il dessine des compositions spatiales géométriques en coloriant des branches mortes en bronze et érige des têtes lumineuses sous forme de totems. Blocs de parpaings, plâtre, résine, fibre de verre mais aussi bronze et aluminium figurent parmi ses matériaux de prédilection. Son univers décalé est un savant mélange entre artisanat et relecture de formes modernistes dont lui seul a le secret.

Voir sur Instagram

Elizabeth Peyton

September 9, 2022 Zoé Schreiber

sign-up for the newsletter / s'abonner à la newsletter

Elizabeth Peyton, Princess Elizabeth Age 16, 6 x 27,9cm, 1995

« Le chagrin est le prix que nous payons pour l’amour. » — Reine Elizabeth II

Elizabeth Peyton, Jarvis (I), 1996

Elizabeth Peyton, Democrats are more beautiful (after Jonathan Horowitz), 2001. Oil on board. 25,4 x 20,3cm. Collection Laura & Stafford Broumand.

Elizabeth Peyton 'Alizarin Kurt' (detail) 1995

Elisabeth Peyton, Chloe, 2001, colored pencil on paper, 21.8 x 15.2 cm

Depuis les années 90, Elizabeth Peyton sonde les visages, images de l’âme. Artiste américaine, elle peint les hommes et les femmes d’exception qui, d’après elle, incarnent leur temps. Célébrités et personnalités historiques, artistes, musiciens et amis figurent dans sa galerie de portraits. Elle capte l’essence des êtres qu’elle admire et s’intéresse à la candeur de la jeunesse, aux visages en devenir, au moment où le “jeune” est sur le point de devenir "quelqu’un". Souvent androgynes, ses évocations à la peinture à l’huile se déclinent sur des petits formats. Sa palette colorée est délavée et ses coups de pinceau fluides évoquent impermanence et fluctuation, un état de suspension et d’ouverture aux possibles. Elle pourrait reprendre à son compte la citation de Colette selon laquelle: « le visage humain fut toujours mon grand paysage. »

Voir sur Instagram

—

Michael Kagan

September 5, 2022 Zoé Schreiber

sign-up for the newsletter / s'abonner à la newsletter

Michael Kagan, *It Lasts Forever III*, enamel on canvas, 274,3 x 182,9 x 5,1 cm, 2022

Objectif Lune…

Voir sur Instagram

Alberto Burri

September 2, 2022 Zoé Schreiber

sign-up for the newsletter / s'abonner à la newsletter

Alberto Burri, *Cretto G 1 (Crack G 1)*, 1975.

Un réseau de craquelures sillonne la surface de la toile…

Alberto Burri, Composizione (Composition), Oil, gold paint, and glue on burlap and canvas, 1953

Alberto Burri, Combustione Plastica, mixed media, plastic and acrylic on canvas, 85,7 x 100cm, 1956

Alberto Burri, Nero Plastica (Black Plastic), 1963

Alberto Burri, Il Grande Cretto, 1984, Gibellina, Trapani

Artiste italien, Alberto Burri (1915-1995) n’a eu de cesse d’interroger les rapports entre peinture et sculpture, forme et espace, surface et matière. Goudron, sacs de jute rapiécés, sable, plastique fondu au chalumeau, bois carbonisé… Usure, combustion, corrosion, fissure, lacération, suture… Autant de matériaux et de procédés formels qu’il expérimente et met en place dans ses oeuvres. Ses tableaux, qui marquèrent de leur singularité l’art d’après-guerre, évoquent transformation et déformation, blessure et réparation… Pour reprendre les mots de Robert Bridges qu’il citait volontiers pour résumer sa démarche: « Notre stabilité est seulement de l’équilibre et notre savoir demeure dans le contrôle magistral de l’imprévu. »

Voir sur Instagram

Subscribe to the newsletter!