William Eggleston

June 11, 2021 Zoé Schreiber

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William Eggleston, Untitled (Glass on Plane), 1965–74

Voyage, voyage...

William Eggleston, Untitled, c. 1973-1978. © Eggleston Artistic Trust.

William Eggleston, Untitled, circa 1978

William Eggleston, 'Untitled,' 1973

William Eggleston, Untitled, 1973

Photographe iconique des années 70, William Eggleston (1939-) est l’un des pionniers de la photographie couleur américaine. Originaire du Sud des Etats-Unis, il documente le monde qui lui est familier et la banalité du quotidien le fascine : les stations-services, les parkings de supermarchés, les voitures... Les angles inattendus de ses prises de vue nous invitent à mieux faire attention aux détails qui figurent sur l’image. Sa palette de couleurs est très saturée. Les lieux sont souvent déserts, les pièces souvent vides mais, comme il le souligne, “les objets dans les photos sont naturellement pleins de la présence de l'homme".

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Kerry James Marshall

June 9, 2021 Zoé Schreiber

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Kerry James Marshall, Untitled (Club Couple), 2014 — Kerry James Marshall, *Untitled (Club Couple)*, 2014

Un couple attablé, tout sourire, partage un moment de pur bonheur et de complicité…

Kerry James Marshall, Slow Dance, 1992-1993

Kerry James Marshall, Untitled (Curtain Girl), 30 x 24in, acrylic on PVC panel, 2016

Kerry James Marshall, De Style, 1993

Karry James Marshall, Our Town, 1995

Artiste phare de sa génération, l’américain Kerry James Marshall (1955-) interroge la représentation des noirs dans l’histoire de l’art et n’a de cesse, pour citer librement l’écrivain Ralph Ellison, de mettre en scène celles et ceux que l’on côtoie mais que l’on “ne voit pas”. Sa pratique protéiforme s’articule autour de peintures monumentales, de dessins, de bandes-dessinées et de sculptures. En accentuant l'ébène de la couleur de peau de ses personnages, il souligne la tension entre visibilité et invisibilité, entre absence et présence.

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Gerhard Richter

June 7, 2021 Zoé Schreiber

« Une page se tourne mais le livre reste ouvert… »

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Jonas Wood

June 4, 2021 Zoé Schreiber

« Le tennis, c’est plus qu’un sport. C’est un art, au même titre que la danse... »

Jonas Wood, Two Tables with Floral Patterns, oil and acrylic on canvas, 254 x 236,2 cm, 2013

Jonas Wood Calais Drive, 2012 oil and acrylic on canvas 104 x 84 inches

Jonas Wood, Clipping A3, oil and acrylic on canvas, 118 x 93in, 2013

Jonas Wood, Jungle Kitchen, oil and acrylic on canvas, 254 x 236,2 x 3,8cm, 2017

L’artiste américain Jonas Wood (1977-) s’inspire de son quotidien, quotidien qu’il transforme et restitue dans un langage visuel pop, graphique et vitaminé. Absence de profondeur, couleurs vives, contours simplifiés caractérisent son travail où se côtoient natures mortes, portraits, scènes d’intérieur et plantes d’appartement mais aussi références à l’histoire de l’art, au sport (basketball, tennis…), aux vases et à la céramique, notamment ceux de l’artiste japonaise Shio Kusaka, sa compagne. Les terrains de terre battue deviennent, sous son impulsion, des jeux picturaux et formels, des puzzles où plages colorées et configurations géométriques se rencontrent et s’imbriquent.

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