« L’optimiste pense qu’une nuit est entourée de deux jours, le pessimiste pense qu’un jour est entouré de deux nuits. »
— Francis Picabia, Écrits
Copyright © 2020, Zoé Schreiber
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« L’optimiste pense qu’une nuit est entourée de deux jours, le pessimiste pense qu’un jour est entouré de deux nuits. »
— Francis Picabia, Écrits
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Des spectateurs d’une autre époque qui, lunettes 3D vissées sur le nez, semblent suspendus dans l’incrédulité des images qui défilent à l’écran... En guise de titre: la science n’est pas de la fiction.
L’artiste peintre américaine Kristen Thiele réinterprète dans ses toiles des scènes de films et des couvertures de magazines. Le cinéma hollywoodien des années 30-50 l’inspire et constitue son terreau de prédilection. Elle peint des arrêts sur images, des moments fugitifs qu’elle isole ou recadre. Ses compositions alternent entre plans resserrés, vues d’ensemble ou contre-plongées et donnent à voir des femmes et des hommes seuls ou accompagnés. Le glamour, la solitude et l’aliénation, l’anonymat de la foule, l’artifice et la mise en scène sont les thèmes principaux qui gravitent autour de ses oeuvres. Si les sujets “retro” qu’elle peint sont empreints d’une certaine nostalgie, ses tableaux sont des déclencheurs de narration. Pour citer le cinéaste Jean-Luc Godard: « Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout. »
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Le même homme vêtu de tenues différentes sur quatre photographies disposées côte à côte. Surimposées sur les portraits, des cibles de tir et, en guise de légendes, deux questions: Qui est l'agresseur? Qui est la victime?
Artiste pluridisciplinaire engagé, le photographe et vidéaste américain, Bayeté Ross Smith (1976-) interroge les liens entre identité et perception, entre racisme et violence. Il déconstruit les stéréotypes et les clichés ancrés dans l’inconscient collectif et examine l’influence de la culture populaire sur la stigmatisation des afro-américains et des personnes issues de minorités visibles. Ses oeuvres montrent comment les préjugés liés au genre, à la couleur de peau, au style vestimentaire, au milieu social ou encore à la nationalité, conditionnent notre rapport à l’autre. Son approche se veut didactique et il pointe du doigt les idées reçues et les a priori. Pour citer James Baldwin: « On ne peut pas changer tout ce que l'on affronte, mais rien ne peut changer tant qu'on ne l'affronte pas. »
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« La vie de chacun est un origami à géométrie variable…. »
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